La question
Ne se pose pas
Il y a trop de vent

Je ne sais pas par où commencer ce soir. C’est 23h, je suis mort, mais je ne peux pas fermer les yeux sans avoir couché quelques lignes à propos des gens que j’ai rencontrés ce soir.

Alors un peu en vrac.

Jonathon, bien sûr. Mon contact avant de toucher le sol neo-zélandais, et un gars super une fois passés les premiers moments. Multitask-jon comme le surnomme sa copine Zoë. Ses colocataires, aussi, et l’auberge espagnole qui s’y réunit. Kolt, le floridien pécheur sous-marin. Bella, l’argentine (espagnole ?) installée ici depuis 6 ans. Les inconnus ou presque : Walt, Tiffany, Matt. La colocataire de Zoë, Lisa, chez qui nous sommes rentrés dormir avec Jon et cette dernière. Super adorable, ancienne vadrouilleuse en Italie. Un plaisir de discuter avec elle pendant que Jon et Zoë écoutaient un de leurs potes dans la fabrication de green roofs. En France, on appelle ça des toitures-terrasses végétalisées, je crois.

Tous, sans exception, sont ouverts, serviables (à l’excès du point de vue d’un français), conviaux et très intéressants. Des gens qui ont tous des trucs à dire sur au moins un autre sujet que la météo, la famille et le travail.

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