La question
Ne se pose pas
Il y a trop de vent

Je marchais sur les quais hier. La nuit était en train de tomber. J’avais fait de l’escalade entre midi et 2, j’étais bien vanné. J’avais un petit air dans la tête.

C’était planant comme moment.

Les choses se calment petit à petit ici. Je vais m’installer dans les nuages avec les geeks samedi matin. Toujours pas de contrat signé.

Je suis pourtant bien intégré chez Enspiral. J’ai mon coin de bureau depuis lequel j’ai entre autres fini ma recherche de logement, écrit et fixé des bugs sur ce que vous lisez en ce moment, participé à un projet open-source, discuté avec des gens super intéressants. Manque plus que le beurre dans les épinards.

Je pense aux virées que je vais bientôt faire. Retourner à Auckland pour faire de la voile dans sa baie mythique. Aller voir l’île du sud. Plusieurs fois. Aller voir le volcan au centre de l’île du nord. Tout un programme !

J’entend Michael finir de laver Zoé. Je vais donc vous abandonner pour sortir une paire de bières (ils en font de très bonnes, notamment une houblonnée terrible !) et commencer l’apéro. Ce soir, c’est revanche sur Street Fighter 4 pendant que Marie joue au badmington.

Life, as usual.

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